COUPES À BLANC
18 mars 2025 au 5 avril 2025

- Production
Collectif Verdun
- Texte et mise en scène
- Assistance à la mise en scène et cosupervision écoresponsabilité
- Direction de production et cosupervision écoresponsabilité
- Direction Technique
- Conception
Bruno Verge (Boon Architecture), Charlie Cameron-Verge, Samy Girard, Érika Hagen-Veilleux, Jeanne Murdock, Émily Wahlman
- Habillage sonore et sonorisation
- Œil Extérieur
- Répétitrice d'enfants
- Création du repas principal
Nancie Cameron
- Consultante en écoresponsabilité
- Interprétation
Valérie Boutin, Mariann Bouchard, Natalie Fontalvo, Nicolas Létourneau, Dayne Simard, Clara Vecchio et Luce Dorion-Roy & Adela Casgrain-Rodriguez (en alternance).
- Durée
1 h 35
Synopsis
Téléchargez le programme de soirée
«Parmi les gratte-ciels abandonnés, les nuages de poussière, les corps gisants sur les trottoirs, Antoine et Marie reçoivent des invités avant leur départ. Ils s’apprêtent à quitter la Terre, rendue invivable, pour s’installer ailleurs.
Dans leur appartement haut perché, Antoine se préoccupe surtout de “l’étiquette” de la soirée, tandis que Marie se heurte à ses démons.
En bas, dans ce qui reste des rues de la ville, se tient Asmodée, le dernier souffle de la cité. Demain, si elle ne fait rien, elle mourra.»
Coupes à blanc est un spectacle écoresponsable et carboneutre qui emprunte les chemins de la tragédie grecque pour aborder un important enjeu tragique de notre époque : l’urgence climatique.
VENDREDI-CAUSERIE
Nous vous invitons à rester après la représentation du vendredi 21 mars pour prendre part à une discussion avec les artistes. Pour l'occasion, Clémence Roy-Darisse, cofondatrice de l’organisme Éclore se joindra à la discussion question d'approfondir les thématiques abordées.
Clémence Roy-Darisse est une jeune comédienne et créatrice, titulaire d’une maîtrise sur l’intégration des écoémotions au théâtre. Cofondatrice de l’organisme Éclore, elle vise à lier les artistes au cœur de la transition socioécologique.
Il faut dire que les dialogues sont tout aussi réalistes que le décor et on ne peut s’empêcher de voir dans cette tragédie un futur tristement possible…
– Valérie Marcoux, Le Soleil