Gros-Câlin ou la conférence sur la solitude des pythons dans les grandes villes – Premier Acte

Gros-Câlin ou la conférence sur la solitude des pythons dans les grandes villes

9 octobre 2014 au 11 octobre 2014

Archives, Terminé Gros-Câlin ou la conférence sur la solitude des pythons dans les grandes villes
Production

CIRAAM

Adaptation, mise en scène et interprétation

Pascal Contamine

Scénographie, costumes et accessoires

Fruzsina Lanyi

Éclairages

David Perreault-Ninacs

Environnement sonore

Jean-Sébastien Roux

Projection vidéo

Frédéric St-Hilaire

Synopsis

REPRÉSENTATIONS EXCEPTIONNELLEMENT À 21h

**Pour les détenteurs du macaron, le mot de passe, pour obtenir votre tarif réduit, est inscrit derrière celui-ci.**

D’APRÈS L’OEUVRE DE ROMAIN GARY (ÉMILE AJAR)Présentée en codiffusion avec le FESTIVAL QUÉBEC EN TOUTES LETTRES 

« Lorsqu’un python s’enroule autour de vous et vous serre bien fort la taille et les épaules puis appuie sa tête contre votre cou, vous n’avez qu’à fermer les yeux pour vous sentir tendrement aimé. C’est la fin de l’impossible à quoi j’aspire de tout mon être. »

Michel Cousin, Gros-Câlin 

Michel Cousin, statisticien dans une grande ville, cherche désespérément à combler le vide de son existence. À défaut de trouver l’amour chez ses contemporains, il s’éprend de Gros-Câlin, un python capable de l’enlacer d’une puissante étreinte. Mais la cohabitation avec un reptile de deux mètres ne se fait pas sans problèmes.

Premier roman publié en 1974 par Romain Gary sous le pseudonyme d’Émile Ajar, Gros-Câlin présente une fable humoristique étrangement annonciatrice d’une société individualiste et technocrate.

Derrière le comique de surface de cette histoire abracadabrante, le ton burlesque et le langage cocasse utilisé par ce « doux dingue » dans son monologue inattendu, ce texte pathétique où l’humour rivalise avec la tendresse ne manque pas de faire réfléchir sur le monde contemporain. On y retrouve les thèmes chers à Romain Gary : la quête d’identité, la peur de la solitude, le besoin d’affection, la nécessité de maintenir la communication et, mieux encore, l’amour.

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