Saison 24-25
Interdit de flâner
CRITIQUES
« Avec une ingéniosité débordante et des effets visuels et sonores captivants, créés en temps réel, le spectacle marie habilement théâtre et technologie. Un mélange audacieux qui promet de transformer chaque représentation en une expérience unique et immersive. »
Interdit de Flâner : les tribulations d’un adolescent vendeur de pot, Juliet Nicolas, Le Carrefour, 18 novembre 2024
« Ce ne sont pas des effluves de cannabis qui ont rendu le public de Premier Acte hilare mardi soir. L’origine de ces rires est plutôt le divertissant monologue d’Antoine Paré-Poirier, Interdit de flâner , présenté dans l’excellente mise en scène de Mélissa Bouchard. »
Interdit de flâner: les divertissantes aventures d’un vendeur de pot, Valérie Marcoux, Le Soleil, 12 novembre 2024
« Mélangeant humour et moments sombres, Paré-Poirier nous entraîne dans un récit empreint de réalisme, d’humanité et de questionnements sur les valeurs, les choix et les impacts de la petite criminalité, avec une juste dose de cynisme et de satire sur l’entrepreneuriat et l’ambition. »
Interdit de flâner: conte de la fumée ordinaire, Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 13 novembre 2024
« La richesse de la pièce réside, finalement, dans ces dynamiques entre fond et forme, où humour, audace et trucages font bon ménage. Tout ce que j’aurais à ajouter, c’est que c’est vraiment bon : allez-y ! »
S’acoquiner (et se laisser captiver) avec Interdit de flâner, Frédérik Dompierre-Beaulieu, Impact campus, 14 novembre 2024
« cette pièce de théâtre multidisciplinaire trouve son public, à en croire les réactions enjouées dans la salle le soir de la première et les généreux applaudissements de la fin. Une première production réussie pour ce jeune collectif. »
Interdit de flâner : une première production réussie, Hélène Laliberté, Monmontcalm.com, 13 novembre 2024
« …raconté avec finesse et beaucoup d’humour. »
Interdit de flâner – La pièce de résistance : « la drogue c’est pas si cool », Marie-Josée Boucher, Arts et culture, 11 novembre 2024
ENTREVUES
Une histoire de cannabis qui joue avec le feu… ou plutôt la fumée, Valérie Marcoux s’entretient avec Antoine Paré-Poirier, Le Soleil, 11 novembre 2024
«Interdit de flâner»: portrait de l’artiste en vendeur, Simon Lambert s’entretient avec Antoine Paré-Poirier, Le Devoir, 11 novembre 2024
Arts : Consommation et vente de drogue dans la pièce «Interdit de flâner», Tifa Bourjouane s’entretient avec Antoine Paré-Poirier à Première heure, sur Ici Première, Radio-Canada, 5 novembre 2024
Interdit de flâner : adolescence et criminalité de quartier, Olivier Alain s’entretient avec Antoine Paré-Poirier, Monmontcalm, 31 octobre 2024
Disgrâce (reprise)
CRITIQUES
« La mise en scène de Gabriel Cloutier Tremblay, combinée à une scénographie bi-frontale, crée une immersion totale pour le public, qui se sent partie intégrante de l’histoire. »
Disgrâce : une œuvre puissante et contemporaine, Juliet Nicolas, Le Carrefour, 3 novembre 2024
« La scénographie en petit comité […] souligne avec brio l’angoisse palpable d’une mère qui a perdu le sens de son monde, du monde. »
Disgrâce (reprise), mise en discours d’un accusé, Léon Bodier, Impact Campus, 31 octobre 2024
« Les trois comédiens sont incroyables et savent exploiter le ressenti. »
Disgrâce : Un fait vécu et une pièce coup de poing, Marie-Josée Boucher, Arts et culture, 29 octobre 2024
Retour sur la pièce Disgrâce, Pascaline Lamare, Québec réveille, CKIA, 24 octobre 2024
ENTREVUES
La pièce Disgrâce prend l’affiche au théâtre, Valérie Cloutier s’entretient avec Nadia Girard Eddahia et Marie-Ginette Guay, Le Téléjournal Québec, Radio-Canada, 30 octobre 2024
Arts avec Patricia Tadros : Disgrâce à Premier Acte, Patricia Tadros s’entretient avec Nadia Girard Eddahia, C’est encore mieux l’après-midi, Radio-Canada – Ici Première, 29 octobre 2024
Un arrière-goût de compost
Un arrière-goût de compost : Honte, fuite et abandon, Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 12 octobre 2024
Un arrière-goût de compost: un beau travail d’équipe, Valérie Marcoux, Le Soleil, 9 octobre 2024
Un arrière-goût de compost : émotions et sensibilisation au théâtre 1er Acte, Juliet Nicolas, Journal Le Carrefour, 11 octobre 2024
Un arrière-goût de compost ou la décomposition des sentiments, Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 14 octobre 2024
Un arrière-goût de compost : Lorsque le temps déterre le passé, Julianne Campeau, Impact Campus, 13 octobre 2024
« Un arrière-goût de compost »: tout ce qu’on enterre, Simon Lambert, Le Devoir, 10 octobre 2024
Saison 23-24
You’re talking to me?
[Critique] Chronique de Pascaline Lamare à Québec réveille — « La mise en scène de Christian Fortin est intelligente, c’est très efficace, bouré de détails […] Juan Arango offre une super belle prestation, il a une énergie pas possible, une gamme de performance qui est tout à fait étendue, on passe par toutes les émotions et il arrive à tout porter ça! » — Pascaline Lamare, Québec réveille, CKIA, 10 mai 2024, (42:oo)
[Critique] «You’re talking to me?» du Collectif de la Tanière au Théâtre Premier Acte — « Ainsi, dans ce spectacle, Juan Arango incarne le rôle principal avec brio, portant la pièce sur ses épaules, grâce à son énergie et à son jeu physique pour le moins impressionnants. » — Guy-Philippe Côté, Bible Urbaine, 8 mai 2024
[Critique] ROBERT DE NIRO S’INVITE À QUÉBEC ! — « La mise en scène de Christian Fortin est prolifique et multidisciplinaire, le décor est maximaliste où tout objet a son utilité. Entre projections visuelles, jeux de lumière, et musique, nous nous sentons bel et bien plongé.es dans un film ! La fin est même racontée sous forme de storyboard, on adore le concept. » — Camille Sainson, Impact Campus, 3 mai 2024
[Critique] You’re talking to me ? : Comment Juan Arango a perdu son âme — « L’extraordinaire présence de Juan Arango ouvre une sorte de gouffre de rationalité, comme si tout devenait intangible malgré l’incontestable brutalité du matériel : décor, accessoires, meubles s’estompent dans les éclairages chirurgicaux, les vidéos sur diverses surfaces, l’environnement sonore cauchemardesque, rompant la ligne entre la joie et la terreur. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 3 mai 2024
[Critique] You’re Talking to Me? — « La prestation de Juan Arango est remarquable. […] De Jim Carrey à Robin Williams, en passant par Vince Vaughn, Owen Wilson, Matthew McConaughey, Liam Neeson, Woody Harrelson ou The Rock, la richesse de son jeu soutient parfaitement une performance physique et totale de la part d’un acteur et auteur prometteur. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 2 mai 2024
[Critique] Robert de Niro à Québec jusqu’au 11 mai — « On se laisse prendre au jeu du comédien qui incarne avec brio plusieurs acteurs américains. Je parle de performance notamment parce qu’il enfile la voix, la mimique et les traits de visage d’une dizaine de vedettes en quelques secondes. » — Yanick Lepage, Arts et culture, 2 mai 2024
[Critique] Retour sur la pièce You’re talking to me — « C’est extrêmement bien fait, clairement une pièce à voir! » — Pamela Bisson et Omri Weiner, Sorties culturelles, CKRL, 2 mai 2024, (35:50)
[Critique] You’re Talking to Me? : Une aventure fantaisiste déstabilisante — « Juan Arango est vraiment excellent dans ses imitations d’acteurs américains que ce soit Jim Carrey, Sylvester Stallone ou tous les autres. » — Marie-Josée Boucher, Arts et culture, 30 avril 2024
[Entrevue] Les arts avec Patricia: You’re talking to me? — Patricia Tadros s’entretient avec Juan Arango à propos de la création de la pièce » — Première heure, Ici Première, 30 avril 2024
[Entrevue] Les arts avec Gabrielle: You’re talking to me? — Gabrielle Morissette s’entretient avec Juan Arango à propos de la création de la pièce — C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première, 30 avril 2024
[Pré-papier] You’re Talking To Me ? : une certaine solitude — Olivier Alain, Monmontcalm.com, 25 avril 2024
Baby Shower
Achat de billets
[Entrevue] Qulture — Entrevue de Julie Réhaume avec Catherine Côté — CKIA, 11 avril 2024, 11h45
[Entrevue] Sorties culturelles à la Korrigane — Entrevue de Pamela Bisson avec Catherine Côté et Gabrielle Ferron et lecture d’un extrait par les comédiennes — CKRL, 10 avril 2024, 18h
[Entrevue] Chéri.e j’arrive — Entrevue de Noémie Fontaine avec Catherine Côté — CHYZ, 11 avril 2024, 16 h 15
[Entrevue] En aparté — Entrevue de Calypso Lemoine avec Catherine Côté — CKRL, 10 arvil 2024, 19 h 05
[Critique] Baby Shower : Hit me baby one more time — « une belle occasion de réfléchir à ce que signifie être mère, et de rire un peu, pour une fois, de toute la pression qu’on met sur celles qui portent et donnent la vie. » — Ariane Tapp, Monmontcalm, 5 avril 2024
[Critique] «Baby Shower»: embrasser la maternité — « Cinq comédiennes fortes forment ici un quintette vraisemblable, dans un récit tissé de rebondissements et de révélations, parsemé d’éclaircissements sur la grossesse, le post-partum, etc. » — Simon Lambert, Le Devoir, 4 avril 2024
[Entrevue] Chanson sur parole — Entrevue de Denys Lelièvre avec Catherine Côté — CKRL, 4 avril 2024, 14 h 35
[Critique] Baby Shower ou les injonctions à la réussite maternelle — « Non seulement l’écriture très fine de Catherine Côté recèle de légèretés et de clins d’oeil bourrés d’humour qui font rire aux éclats, mais les moments de tragédie intime, qui inévitablement brouillent la vue de quelques larmes, sont amenés en douceur, délicatement et sans faux-semblants. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 3 avril 2024
[Critique] Baby Shower : douche froide sur la maternité — « Il faut bien le souligner : Catherine Côté signe ici des dialogues savoureux et souvent très drôles, mais qui traitent tout de même de véritables tabous. » — Léa Harvey, Le Soleil, 2 avril 2024
[Critique] Baby Shower : Complicité et rivalité entre femmes — « Les comédiennes sont talentueuses et jouent avec une grande sensibilité. » — Marie-Josée Boucher, Arts et culture, 2 avril 2024
[Entrevue] Nous découvrons la pièce « Baby Shower » — P-A Méthot discute avec Catherine Côté à propose de la pièce — P-A Méthot, Le monde de P-A, FM93, 3 avril 2024
[Entrevue] Les arts avec Émilie Rioux — Émilie Rioux s’est entretenue avec Catherine Côté à propos de la pièce Baby Shower — Émilie Rioux, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première, 1er avril 2024
[Entrevue] Rivalité féminine et maternité: une pièce brise les tabous — Richard Courchesne et Chloé Patry-Robitaille s’entretiennent avec Catherine Côté au sujet de la pièce Baby Shower et du deuil périnatal. — Richard Courchesne et Chloé Patry-Robitaille, Debout Québec, Rythme FM, 2 avril 2024
[Entrevue] Les arts avec Tifa — Tifa a rencontré Catherine Côté pour discuter de la création et des thématiques de la pièce. — Tifa Bourjouane, Première heure, Ici Première, 1er avril 2024
Jusqu’à brûler les boiseries
[Critique] Les arts avec Patricia — « Franchement bien réussi, je vous invite à aller voir ça, très bonne pièce! » — Patricia Tadros, Première heure, Ici Première, 11 mars 2024
[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries : Le théâtre comme catharsis — « Déjà remarqué comme comédien (entre autres en Dalí dans Le miel est plus doux que le sang), Silviu Vincent Legault ajoute avec doigté l’écriture et la mise en scène à sa palette. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 8 mars 2024
[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries: sous les paillettes, les ecchymoses — « La mise en scène (que l’on doit également à Silviu Vincent Legault) est tout aussi nuancée que le propos, tout en proposant des moments complètement décoiffants. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 7 mars 2024
[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries : comment se remettre des coups portés à l’âme ? — « Pierre-Olivier Roussel est particulièrement impressionnant dans le rôle de Fred. Il réussit à faire percevoir au spectateur la violence des coups que Charles porte, non pas juste au corps, mais aussi à son âme. » Julianne Campeau, Impact Campus, 6 mars 2024
[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries : À coups de glitter — « La note juste. Le jeu de Pierre-Olivier Roussel magnifie la sincérité du texte de Silviu Vincent Legault. » — Marrie E. Bathory, Monmontcalm, 6 mars 2024
[Entrevue] Jusqu’à brûler les boiseries, autofiction sur la violence conjugale — Dans cette capsule, l’auteur et des membres de l’équipe de création parlent de la genèse du projet et des enjeux de porter sur scène cette histoire aussi bouleversante que lumineuse . — La Fabrique culturelle
[Entrevue] Les Arts avec Gabrielle Morissette — Gabrielle Morissette discute de la création et la mise en scène de Jusqu’à brûler les boiseries avec Silviu Vincent Legault « On est vraiment dans un type de comédie qui va nous arracher un sourire, qui va nous faire passer ce message qu’on a besoin, mais avec un peu plus de légèreté ». — Gabrielle Morissette, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première – Radio-Canada, 5 mars 2024
[Entrevue] Les art avec Patricia — Patricia Tadros s’est entretenue avec Silviu Vincent Legault et glisse un mot sur la pièce « Je me suis promis d’aller voir la pièce et de vous en reparler parce que, vraiment, on m’en a parlé avec beaucoup de bien! » — Patricia Tadros, Première heure, Ici Première – Radio-Canada, 13 février 2024
Bitch Boxer
[Critique] Bitch Boxer : Chronique combative d’une éducation sentimentale — « La mise en scène d’Hubert Bolduc (qui a pratiqué lui aussi la boxe à l’occasion) est d’une grande inventivité, convoquant toutes les séquences dans un dispositif unique, tout en pariant sur la qualité même de la dépense physique comme appui de jeu et outil d’interprétation. » — Ludovic Fouquet, Jeu, Revue de théâtre, 16 février 2024
[Critique] Chronique théâtre — « Outre la performance à couper le souffle, Samantha Clavet qui est la traductrice du texte, a fait un travail magnifique de traduction et d’adaptation. » — Pascaline Lamare, Québec Réville, CKIA, 16 février 2024
[Critique] Bitch Boxer, sentiments bruts — « Bitch Boxer nous offre une performance à couper le souffle, où la boxe féminine permet d’aborder de manière organique des failles intimes et les émotions que l’on refoule plus ou moins consciemment. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 15 février 2024
[Critique] Bitch Boxer: entre rêves et sacrifices — « Au-delà de la boxe, Bitch Boxer propose un regard sur le deuil, la performance, l’amour et la vulnérabilité. Dans une langue vivante et actuelle, la pièce montre également la difficile ascension d’une athlète placée devant le dilemme de devoir sacrifier un désir pour satisfaire un rêve. » — Critique de Hélène Laliberté, Monmontcalm.com, 14 février 2024
[Critique] Les arts avec Patricia – Bitch Boxer à Premier Acte — « Une pièce vraiment très dynamique, des interprètes solides; Samantha Clavet qui porte cette pièce sur ses épaules et les deux autres comédiens, Anne-Virginie Bérubé et Charlie Cameron-Verge, ajoutent une couleur et une dynamique à la pièce. Belle découverte à faire à Premier Acte! » — Patricia Tadros, Premiere heure, Ici Première – Radio-Canada, 14 février 2024
[Critique] La vie comme un combat de boxe | Critique: Bitch Boxer — « Samantha Clavet donne vie à Chloé de belles manières. Elle s’immerge dans le personnage, le possède entièrement, exprime bellement ses angoisses, ses peurs et sa difficulté de vivre. » — Robert Boisclair, Les enfants du paradis bloguent, 14 février 2024
[Entrevue] Deuil et coups de poing dans Bitch Boxer — Une entrevue de Gabrielle Morissette avec Samantha Clavet et Huber Bolduc à propos de la création et de la mise en scène de la pièce. Comprend un segment vidéo (Téléjournal Québec). — Gabrielle Morissette, Ici Québec – Radio-Canada, 14 février 2024
[Entrevue] Le Téléjournal Québec — Une entrevue de Valérie Cloutier avec Samantha Clavet et Hubert Bolduc pour la première de la pièce Bitch Boxer. — Valérie Cloutier, Ici Québec, Radio-Canada, 13 février 2024
[Entrevue] Bitch Boxer : «le combat n’est pas fini», — Une entrevue de Valérie Marcoux avec Samantha Clavet, traductrice et interprète du rôle principal de Bitch Boxer. On y aborde entre autres les raisons qui ont porté la comédienne à vouloir porter la pièce sur scène ainsi que les thématiques qu’on y retrouve, telles que la boxe, les émotions refoulées et le deuil.— Valérie Marcoux, Le Soleil, 14 février 2024
[Entrevue] Les art avec Patricia : Bitch Boxer à Premier Acte — Segment d’entrevue de Patricia Tadros avec Samantha Clavet, avant d’aller assister à la pièce le soir-même. — Patricia Tadros, Premiere heure, Ici Première – Radio-Canada, 13 février 2024
[Entrevue] Les Arts avec Gabrielle Morissette — Gabrielle Morissette discute de la création et la mise en scène de Bitch Boxer avec Samantha Clavet, comédienne et traductrice, et Hubert Bolduc, metteur en scène. « Un beau mélange de boxe et des réflexions très profondes à découvrir ». — Gabrielle Morissette, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première – Radio-Canada, 13 février 2024
Pamplemousse
Pamplemousse : Chair tendre avec goût d’amertume, — « Soulignons la performance de Pascale Chiasson, jeune comédienne prometteuse, qui connaît des instants de grâce. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 27 janvier 2024
Pamplemousse : quand l’amour se vit au féminin — « Aidées d’une belle scénographie, les deux actrices Pascale Chiasson et Elisabeth Lavoie nous livrent de très belles interprétations, entre douceur et colère, passion et résilience. » — Camille Sainson, Impact Campus, 26 janvier 2024
Pamplemousse : L’inextinguible soif d’aimer l’autre — « L’authenticité de la performance d’Elisabeth Lavoie et de Pascale Chiasson se ressent. Le texte d’Elisabeth Lavoie, qui signe la mise en scène avec Joanie Lehoux, a l’intelligence de laisser l’émotion fleurir de l’anodin. » — Marrie E. Bathory, Monmontcalm, 25 janvier 2024
Pamplemousse : spectacle queer sur l’amour au féminin — Une entrevue de Marie-Ève Groleau avec Elisabeth Lavoie, autrice, metteuse en scène et interprète de Pamplemousse — Marie-Ève Groleau, Le Carrefour, 25 janvier 2024
Critique de Pamplemousse — « Une pièce qui s’adresse aux amoureux dans son sens le plus large : aux amoureux du théâtre, aux amoureux d’art, de poésie… » — David Rochette — « J’ai adoré le texte et le jeu, et même la bande sonore qui selon moi était pratiquement un 3e personnage » — Thérèse Hamel, Sorties culturelles, avec Pamela Bisson, CKRL, 25 janvier 2024 (1:15)
Pamplemousse, amours saphiques au temps des lattés au sucre à la crème — « Deux choses à retenir de Pamplemousse: la mise en scène moelleuse et sensuelle (fabuleux décors de Simon Rollin) et la lumière. Les éclairages de Samy Girard (également directrice de production) sont parfaitement à-propos, doux et charnels quand la tendresse du moment l’exige, fébriles et tranchants quand les échanges se font blessant. Il faut également saluer le travail d’écriture et l’aspect concentrique du texte, très bien porté par les deux comédiennes, Pascale Chiasson et Elisabeth Lavoie, dont la complicité est évidente. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 24 janvier 2024
Le mythe d’Orphée inspire deux créatrices de Québec — Une entrevue de Valérie Marcoux avec Elizabeth Lavoie, autrice de Pamplemousse (et Isabelle Hubert, autrice de Le Mythe d’Orphée) abordant principalement le mythe d’Orphée dont s’inspire les deux pièces — Valérie Marcoux, Le Soleil, 24 janvier 2024
Les arts avec Gabrielle Morissette — Gabrielle Morissette discute avec Elisabeth Lavoie de la création de Pamplemousse — Gabrielle Morissette, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première – Radio-Canada, 23 janvier 2024
Les arts avec Patricia – Pamplemousse à Premier Acte — Patricia Tadros discute de la création de Pamplemousse avec Elisabeth Lavoie — Patricia Tadros, Premiere heure, Ici Première – Radio-Canada, 23 janvier 2024
L’amour lesbien dans la pièce Pamplemousse — Une entrevue de Valérie Cloutier avec Elisabeth Lavoie et Joanie Lehoux sur la pièce Pamplemousse. L’article comprend un extrait du Téléjournal Québec. — Valérie Cloutier, Ici Québec, Radio-Canada, 23 janvier 2024
Les Contes à passer le temps
«Contes à passer le temps»: six histoires à savourer longuement, — « Les six auteurs et autrices ont su doser avec justesse la démesure et l’intimité, l’excès et la retenue, pour livrer une soirée délicieusement drôle et agréablement touchante, le tout dans une ambiance de bord du feu. Qui dit mieux ? » — Sébastien Tanguay, Le Devoir, 20 décembre 2023
Les Contes à passer le temps : une treizième édition sur le thème de la chance — « Cadre splendide, concept gourmand : dans ce lieu historique se consomment vin chaud, chocolat chaud et gâteau, mais surtout de grosses croquées de notre vie québécoise actuelle – que ces bouchées soient duveteuses ou amères. » — Florence Bordeleau, Impact Campus, 20 décembre 2023
Les Contes à passer le temps embrassent l’ambivalence de Noël, — « le charismatique Maxime Robin a défendu l’ambivalence inhérente à cette fête qui serait un mélange de deux fêtes païennes, de Saturnales et de Calendes, de tendresse et de festivités, de recueillement et de célébrations. » — Valérie Marcoux, Le Soleil, 19 décembre 2023
Les Arts avec Patricia: Les Contes à passer le temps, — Patricia Tadros, qui a assisté aux Contes à passer le temps ce mardi, vous raconte son expérience et s’entretient avec Maxime Robin, qu’elle a attrapé juste après la représentation – Attention, les contes sont bien associés avec Premier Acte et non pas le Périscope tel que mentionné dans l’extrait. — Patricia Tadros, Première heure, Radio-Canada, 20 décembre 2023
Le TVA Nouvelles 17h30 de Québec du 18 décembre 2023 — Pascale Robitaille s’entretient avec Maxime Robin au sujet des Contes à passer le temps et dévoile quelques extraits de la générale. — Pascale Robitaille, TVA nouvelles, 18 décembre 2023 – débute à 13:35 minutes.
Le Téléjournal Québec, Épisode du lundi 18 décembre 2023 — Valérie Cloutier s’entretient en direct avec Maxime Robin juste avant la première des Contes à passer le temps. — Valérie Cloutier, Le Téléjournal Québec, 18 décembre 2023 – débute à 35:25 minutes.
La Délivrance
La Délivrance à Premier Acte : apprendre à donner — « Personnages attachants et crédibles, dialogues serrés, jeu de comédien.nes absolument réussi, thème de la filiation et de la maternité : je n’ai pas vu le temps passer. » — Florence Bordeleau-Gagné, Impact Campus, 3 décembre 2023
La Délivrance : Naître dans les turbulences — « Cournoyer a relevé le défi de la mise en scène marquée par une direction des comédiens et comédiennes travaillée au scalpel. Gabrielle Ferron, magistrale dans le rôle de Jeanne, nous offre un moment d’anthologie. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 2 décembre 2023
La pièce La Délivrance questionne le « rapport trouble » à la maternité — « Les tabous de la maternité, le choix d’être parents et les défis de la vie de famille sont abordés avec maturité et nuances. Un hommage est destiné aux femmes fortes, éducatrices, qui tissent des liens entre les membres d’une même famille. » — Marie-Ève Groleau, Le Carrefour, 30 novembre 2023
La délivrance : la tempête du siècle — « Fidèle à son habitude, Cournoyer nous offre un texte fin, réaliste et touchant. » — Arianne Tapp, Monmontcalm, 1er décembre 2023
La Délivrance ou la difficulté du legs intergénérationnel — « On est littéralement absorbé par ce huis clos familial, où le talent de narration de Rosalie Cournoyer prend le temps de se diffuser dans des dialogues ciselés et une langue populaire (au sens le plus noble et poétique du terme), au service de personnages attachants et plein de failles. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 30 novembre 2023
La famille et la filiation dans la pièce « La Délivrance » à Premier Acte — « Les réparties entre les personnages de différentes générations sont savoureuses. C’est l’occasion de voir plusieurs brillants acteurs!» — Valérie Cloutier, Le Téléjournal Québec, 29 novembre 2023
Les arts avec Patricia, La Délivrance à Premier Acte — « Quelle bonne pièce, extrêmement bien écrite, autant dans les dialogues que dans la structure! Tous les personnages sont très, très bien dépeints et superbement interprétés! […] Une autrice à surveiller! » — Critique de Patricia Tadros, Première heure, Ici Première, 29 novembre 2023
Un théâtre de son époque — Dans cette entrevue accordée à Simon Lambert du Journal Le Devoir, Rosalie Cournoyer se raconte à propos de la création et des enjeux autour de la pièce La Délivrance ainsi que de sa pratique en tant qu’autrice. — Simon Lambert, Le Devoir, 25 novembre 2023
Rentrée théâtrale à Québec: théâtres sous influence — « La pièce de Rosalie Cournoyer met en scène la crise du verglas et une famille dans le triangle noir de la catastrophe, au moment d’une naissance à venir. La dramaturge, qui a signé en peu de temps deux textes d’une grande sensibilité — Fièvre (meilleur texte aux Prix de la critique) et L’oeil (lequel sera justement repris pendant la création de La délivrance, de l’autre côté de l’avenue De Salaberry cependant, au Périscope) —, tirera prétexte de la tempête pour forcer le contact, puis les frictions au sein de ce noyau familial traversé de femmes fortes. » — Mention de Simon Lambert dans Le Devoir, 9 septembre 2023
J’te pète en mixte
J’te pète en mixte : Il y a quelque chose de pourri au royaume de l’impro — « Le récit efficace des parties d’improvisation et des partys donne l’impression d’y être. Avec un accessoire, un changement de ton, une blague, la jeune femme nous tient dans sa main. La comédienne et improvisatrice aguerrie [Clémence Lavallée] a tout ce qu’il faut pour porter le rôle. — Critique de Josiane Desloges, Jeu, revue de théâtre, 7 novembre 2023
J’te pète en mixte : le souci de la performance — « La production décortique avec une lame acérée les rêves, les espoirs et les embûches de Cath qui se présente au public, parée de toute sa fragilité et dotée d’une volonté de fer. » — Critique de Hélène Laliberté, Monmontcalm.com, 1er novembre 2023
J’te pète en mixte — « Le texte de Gabrielle Ferron est remarquablement bien écrit. Tout en nuance, abordant de biais les enjeux, le monologue de Cath’ est subtil, intelligent, hyper réaliste et accessible. On en oublierait presque que l’on est dans un théâtre, tant les distances sont abolies, et pas seulement au sens propre du terme. » — Critique de Pascaline Lamare, Le Bourdon du faubourg, 1er novembre 2023
J’te pète en mixte : une pièce dont « tu » es la victime — « Lors de la première mardi soir à Premier Acte, la comédienne Clémence Lavallée a réussi à rendre l’humour et le drame de ce solo signé Gabrielle Ferron. » — Critique de Valérie Marcoux, Le Soleil, 1er novembre 2023
Incursion dans l’univers de l’impro au collégial dans J’te pète en mixte, à Premier Acte, Dans cette entrevue sur Ici Québec, Gabrielle Morissette s’est entretenue avec Gabrielle Ferron et Clémence Lavallée sur la création et les enjeux de la pièce J’te pète en mixte — Gabrielle Morissette, Radio-Canada, 2 novembre 2023
La République hip-hop du Bas-Canada
La République hip-hop du Bas-Canada : Une vertigineuse ratatouille postrigodon — « Cette épopée hip-hop de la création du pays, en forme de comédie musicale, emporte l’adhésion complice de la foule. Le spectacle est rythmé autant par le flot verbal que par l’humour et quelques phrases assassines qui viennent ponctuer ce plaidoyer pour un regain d’harmonie. » — Critique d’Alain-Martin Richard, Jeu, revue de théâtre, 10 octobre octobre 2023
«La république hip-hop du Bas-Canada» de Dominique Sacy à Premier Acte — « Il va s’en dire: l’histoire est complètement éclatée! Et je dois admettre que cette œuvre lance la saison de Premier Acte en force. » — Critique de Guy-Philippe Côté, Bible urbaine, 10 octobre 2023
La République hip-hop du Bas-Canada ou comment chanter la révolution — « La comédie musicale rap, La République hip-hop du Bas-Canada, qui ouvre l’automne chez Premier Acte, nous propose un surprenant voyage dans un Québec parallèle. De quoi charmer ceux qui ont des envies de révolution ou même un simple fantasme latent de changement. Avec un brin d’excentricité et beaucoup d’intelligence ». — Critique de Léa Harvey, Le Soleil, 4 octobre 2023
La République hip-hop du Bas-Canada : rythme et poésie — « C’est la passion des mots qui anime ce texte, courtepointe culturelle, comme c’est la poésie qui attise la flamme révolutionnaire des personnages d’Annabelle (Myriam Lenfesty) et de Zack (Samuel Bouchard), jeunes artistes mus par un idéal d’authenticité. » — Critique de Marrie E. Bathory, Monmontcalm.com, 4 octobre 2023
Les Arts avec Patricia — Dans cette entrevue accordée à Première Heure sur Ici Première, Patricia Tadros discute avec Dominique Sacy et Emile Beauchemin de ce qui a inspiré la création de La République hip-hop du Bas-Canada. — Patricia Tadros, Radio-Canada, 3 octobre 2023
Dans la république hip-hop, la révolution swag la bacaisse dans le fond de la boîte à bois — Ici, Sébastien Tanguay s’entretient avec Emile Beauchemin (MES) et Dominqiue Sacy (auteur), à propos leur création La République hip-hop du Bas-Canada. Un pas dans l’univers de cet ovni théâtral qui se veut une ode à la culture rap, un appel à la révolution et à la fête. — Sébastien Tanguay, Le Devoir, 2 octobre 2023
Premier Acte annonce une comédie musicale inspirée d’Alaclair Ensemble — Dans ce papier, Valérie Marcoux s’entretient avec Dominique Sacy, auteur de La République hip-hop du Bas-Canada, pour discuter de cette comédie musicale rap présentée du 3 au 21 octobre prochain. Valérie Marcoux, Le Soleil, 9 mai 2023