Que les beaux jours sont courts – Premier Acte

Que les beaux jours sont courts

6 mai 2025 au 17 mai 2025

Que les beaux jours sont courts
Production

La bouche _ La machine

Texte

Marie-Ève Lussier-Gariépy

Mise en scène

Odile Gagné-Roy

Assistance à la mise en scène

Maureen Roberge

Conception

Philémon Cimon, Keven Dubois, Marianne Lebel, Yves Dubois et Émily Wahlman

Régie

David Boily

Direction d’intimité

Maude Boutin St-Pierre

Direction de production et direction technique

Anne Plamondon

Œil extérieur

Marianne Marceau

Interprétation

Eudore Belzile, Maude Lafond, Linda Laplante, et Hugo Pires

Durée

1 h 50

Synopsis

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Isle-aux-Coudres.

De l’aube au crépuscule, Marie guette la lumière. Éloi raconte encore et encore ses exploits en mer. Leur petit-fils, Benoît, s’acharne à peindre des toiles abstraites de son île.

Étudiante en littérature, Léa fait irruption parmi elle et eux. Elle vient sur l’île pour écrire, mais le fleuve, les conifères rabougris et le vent incessant la paralysent. D’autant plus que son amoureuse, partie en Islande pour un stage de géologie, ne donne aucun signe de vie.

Dans une langue poétique et incarnée, Que les beaux jours sont courts évoque l’importance et la difficulté d’appartenir à un lieu, à une culture, à un héritage.

* Saviez-vous que le texte Que les beaux jours sont courts est né dans le cadre du festival du Jamais Lu Québec ?

Ce spectacle est soutenu par la mesure    

VENDREDI-CAUSERIE

Après la représentation du vendredi 9 mai, le public est invité à prendre part à une discussion avec les artistes. Pour l'occasion, Catherine Blanchet, artiste en arts visuels, se joindra à la discussion question d'approfondir les thématiques abordées.

Catherine Blanchet est une artiste visuelle de Québec qui s’intéresse à la matière minérale. À travers un processus s’inscrivant dans la contemplation, la lenteur et la déambulation, elle explore le potentiel pictural et sculptural des pierres et sols qu’elle rencontre sur son chemin.

À mi-chemin entre chronique poétique, théâtre documentaire et partition sensorielle, l’œuvre du collectif La bouche _ La machine enveloppe les spectateurs d’une douceur rare, sans jamais céder à la mièvrerie. Elle offre un théâtre du murmure, du détail et du tremblement, où la langue et la lumière suffisent à convoquer tout un monde.

– Pascaline Lamare, Murmures sur les planches

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