Baby Shower

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[Entrevue] Qulture — Entrevue de Julie Réhaume avec Catherine Côté — CKIA, 11 avril 2024, 11h45

[Entrevue] Sorties culturelles à la Korrigane — Entrevue de Pamela Bisson avec Catherine Côté et Gabrielle Ferron et lecture d’un extrait par les comédiennes — CKRL, 10 avril 2024, 18h

[Entrevue] Chéri.e j’arrive — Entrevue de Noémie Fontaine avec Catherine Côté — CHYZ, 11 avril 2024, 16 h 15

[Entrevue] En aparté — Entrevue de Calypso Lemoine avec Catherine Côté — CKRL, 10 arvil 2024, 19 h 05

[Critique] Baby Shower : Hit me baby one more time — « une belle occasion de réfléchir à ce que signifie être mère, et de rire un peu, pour une fois, de toute la pression qu’on met sur celles qui portent et donnent la vie. » — Ariane Tapp, Monmontcalm, 5 avril 2024

[Critique] «Baby Shower»: embrasser la maternité — « Cinq comédiennes fortes forment ici un quintette vraisemblable, dans un récit tissé de rebondissements et de révélations, parsemé d’éclaircissements sur la grossesse, le post-partum, etc. » — Simon Lambert, Le Devoir, 4 avril 2024

[Entrevue] Chanson sur parole — Entrevue de Denys Lelièvre avec Catherine Côté —  CKRL, 4 avril 2024, 14 h 35

[Critique] Baby Shower ou les injonctions à la réussite maternelle — « Non seulement l’écriture très fine de Catherine Côté recèle de légèretés et de clins d’oeil bourrés d’humour qui font rire aux éclats, mais les moments de tragédie intime, qui inévitablement brouillent la vue de quelques larmes, sont amenés en douceur, délicatement et sans faux-semblants. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 3 avril 2024

[Critique] Baby Shower : douche froide sur la maternité « Il faut bien le souligner : Catherine Côté signe ici des dialogues savoureux et souvent très drôles, mais qui traitent tout de même de véritables tabous. » — Léa Harvey, Le Soleil, 2 avril 2024

[Critique] Baby Shower : Complicité et rivalité entre femmes « Les comédiennes sont talentueuses et jouent avec une grande sensibilité. » — Marie-Josée Boucher, Arts et culture, 2 avril 2024

[Entrevue] Nous découvrons la pièce « Baby Shower » — P-A Méthot discute avec Catherine Côté à propose de la pièce — P-A Méthot, Le monde de P-A, FM93, 3 avril 2024

[Entrevue] Les arts avec Émilie Rioux Émilie Rioux s’est entretenue avec Catherine Côté à propos de la pièce Baby Shower — Émilie Rioux, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première, 1er avril 2024

[Entrevue] Rivalité féminine et maternité: une pièce brise les tabous  Richard Courchesne et Chloé Patry-Robitaille s’entretiennent avec Catherine Côté au sujet de la pièce Baby Shower et du deuil périnatal. — Richard Courchesne et Chloé Patry-Robitaille, Debout Québec, Rythme FM, 2 avril 2024

[Entrevue] Les arts avec Tifa Tifa a rencontré Catherine Côté pour discuter de la création et des thématiques de la pièce. — Tifa Bourjouane, Première heure, Ici Première, 1er avril 2024

Jusqu’à brûler les boiseries

[Critique] Les arts avec Patricia « Franchement bien réussi, je vous invite à aller voir ça, très bonne pièce! » — Patricia Tadros, Première heure, Ici Première, 11 mars 2024

[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries : Le théâtre comme catharsis « Déjà remarqué comme comédien (entre autres en Dalí dans Le miel est plus doux que le sang), Silviu Vincent Legault ajoute avec doigté l’écriture et la mise en scène à sa palette. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 8 mars 2024

[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries: sous les paillettes, les ecchymoses « La mise en scène (que l’on doit également à Silviu Vincent Legault) est tout aussi nuancée que le propos, tout en proposant des moments complètement décoiffants. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 7 mars 2024

[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries : comment se remettre des coups portés à l’âme ? « Pierre-Olivier Roussel est particulièrement impressionnant dans le rôle de Fred. Il réussit à faire percevoir au spectateur la violence des coups que Charles porte, non pas juste au corps, mais aussi à son âme. » Julianne Campeau, Impact Campus, 6 mars 2024

[Critique] Jusqu’à brûler les boiseries : À coups de glitter « La note juste. Le jeu de Pierre-Olivier Roussel magnifie la sincérité du texte de Silviu Vincent Legault. » Marrie E. Bathory, Monmontcalm, 6 mars 2024

[Entrevue] Jusqu’à brûler les boiseries, autofiction sur la violence conjugale Dans cette capsule, l’auteur et des membres de l’équipe de création parlent de la genèse du projet et des enjeux de porter sur scène cette histoire aussi bouleversante que lumineuse . La Fabrique culturelle

[Entrevue] Les Arts avec Gabrielle Morissette — Gabrielle Morissette discute de la création et la mise en scène de Jusqu’à brûler les boiseries avec Silviu Vincent Legault « On est vraiment dans un type de comédie qui va nous arracher un sourire, qui va nous faire passer ce message qu’on a besoin, mais avec un peu plus de légèreté ».  — Gabrielle Morissette, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première – Radio-Canada, 5 mars 2024

[Entrevue] Les art avec Patricia — Patricia Tadros s’est entretenue avec Silviu Vincent Legault et glisse un mot sur la pièce « Je me suis promis d’aller voir la pièce et de vous en reparler parce que, vraiment, on m’en a parlé avec beaucoup de bien! » Patricia Tadros, Première heure, Ici Première – Radio-Canada, 13 février 2024 

 

Bitch Boxer

[Critique] Bitch Boxer : Chronique combative d’une éducation sentimentale — « La mise en scène d’Hubert Bolduc (qui a pratiqué lui aussi la boxe à l’occasion) est d’une grande inventivité, convoquant toutes les séquences dans un dispositif unique, tout en pariant sur la qualité même de la dépense physique comme appui de jeu et outil d’interprétation. » — Ludovic Fouquet, Jeu, Revue de théâtre, 16 février 2024

[Critique] Chronique théâtre — « Outre la performance à couper le souffle, Samantha Clavet qui est la traductrice du texte, a fait un travail magnifique de traduction et d’adaptation. » — Pascaline Lamare, Québec Réville, CKIA, 16 février 2024

[Critique] Bitch Boxer, sentiments bruts — « Bitch Boxer nous offre une performance à couper le souffle, où la boxe féminine permet d’aborder de manière organique des failles intimes et les émotions que l’on refoule plus ou moins consciemment. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 15 février 2024

[Critique] Bitch Boxer: entre rêves et sacrifices — « Au-delà de la boxe, Bitch Boxer propose un regard sur le deuil, la performance, l’amour et la vulnérabilité. Dans une langue vivante et actuelle, la pièce montre également la difficile ascension d’une athlète placée devant le dilemme de devoir sacrifier un désir pour satisfaire un rêve. » — Critique de Hélène Laliberté, Monmontcalm.com, 14 février 2024

[Critique] Les arts avec Patricia – Bitch Boxer à Premier Acte — « Une pièce vraiment très dynamique, des interprètes solides; Samantha Clavet qui porte cette pièce sur ses épaules et les deux autres comédiens, Anne-Virginie Bérubé et Charlie Cameron-Verge, ajoutent une couleur et une dynamique à la pièce. Belle découverte à faire à Premier Acte! » Patricia Tadros, Premiere heure, Ici Première – Radio-Canada, 14 février 2024 

[Critique] La vie comme un combat de boxe | Critique: Bitch Boxer — «  Samantha Clavet donne vie à Chloé de belles manières. Elle s’immerge dans le personnage, le possède entièrement, exprime bellement ses angoisses, ses peurs et sa difficulté de vivre. » Robert Boisclair, Les enfants du paradis bloguent, 14 février 2024

[Entrevue] Deuil et coups de poing dans Bitch Boxer — Une entrevue de Gabrielle Morissette avec Samantha Clavet et Huber Bolduc à propos de la création et de la mise en scène de la pièce. Comprend un segment vidéo (Téléjournal Québec). — Gabrielle Morissette,  Ici Québec – Radio-Canada, 14 février 2024

[Entrevue] Le Téléjournal Québec Une entrevue de Valérie Cloutier avec Samantha Clavet et Hubert Bolduc pour la première de la pièce Bitch Boxer. Valérie Cloutier, Ici Québec, Radio-Canada, 13 février 2024

[Entrevue] Bitch Boxer : «le combat n’est pas fini», — Une entrevue de Valérie Marcoux avec Samantha Clavet, traductrice et interprète du rôle principal de Bitch Boxer. On y aborde entre autres les raisons qui ont porté la comédienne à vouloir porter la pièce sur scène ainsi que les thématiques qu’on y retrouve, telles que la boxe, les émotions refoulées et le deuil.— Valérie Marcoux, Le Soleil, 14 février 2024

[Entrevue] Les art avec Patricia : Bitch Boxer à Premier Acte — Segment d’entrevue de Patricia Tadros avec Samantha Clavet, avant d’aller assister à la pièce le soir-même. Patricia Tadros, Premiere heure, Ici Première – Radio-Canada, 13 février 2024 

[Entrevue] Les Arts avec Gabrielle Morissette — Gabrielle Morissette discute de la création et la mise en scène de Bitch Boxer avec Samantha Clavet, comédienne et traductrice, et Hubert Bolduc, metteur en scène. « Un beau mélange de boxe et des réflexions très profondes à découvrir ».  — Gabrielle Morissette, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première – Radio-Canada, 13 février 2024

 

Pamplemousse

Pamplemousse : Chair tendre avec goût d’amertume, — « Soulignons la performance de Pascale Chiasson, jeune comédienne prometteuse, qui connaît des instants de grâce. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 27 janvier 2024

Pamplemousse : quand l’amour se vit au féminin — « Aidées d’une belle scénographie, les deux actrices Pascale Chiasson et Elisabeth Lavoie nous livrent de très belles interprétations, entre douceur et colère, passion et résilience. » — Camille Sainson, Impact Campus, 26 janvier 2024

Pamplemousse : L’inextinguible soif d’aimer l’autre — « L’authenticité de la performance d’Elisabeth Lavoie et de Pascale Chiasson se ressent. Le texte d’Elisabeth Lavoie, qui signe la mise en scène avec Joanie Lehoux, a l’intelligence de laisser l’émotion fleurir de l’anodin. » — Marrie E. Bathory, Monmontcalm, 25 janvier 2024

Pamplemousse : spectacle queer sur l’amour au féminin — Une entrevue de Marie-Ève Groleau avec Elisabeth Lavoie, autrice, metteuse en scène et interprète de PamplemousseMarie-Ève Groleau, Le Carrefour, 25 janvier 2024

Critique de Pamplemousse — « Une pièce qui s’adresse aux amoureux dans son sens le plus large : aux amoureux du théâtre, aux amoureux d’art, de poésie… » — David Rochette — « J’ai adoré le texte et le jeu, et même la bande sonore qui selon moi était pratiquement un 3e personnage » — Thérèse Hamel, Sorties culturelles, avec Pamela Bisson, CKRL, 25 janvier 2024 (1:15)

Pamplemousse, amours saphiques au temps des lattés au sucre à la crème — « Deux choses à retenir de Pamplemousse: la mise en scène moelleuse et sensuelle (fabuleux décors de Simon Rollin) et la lumière. Les éclairages de Samy Girard (également directrice de production) sont parfaitement à-propos, doux et charnels quand la tendresse du moment l’exige, fébriles et tranchants quand les échanges se font blessant. Il faut également saluer le travail d’écriture et l’aspect concentrique du texte, très bien porté par les deux comédiennes, Pascale Chiasson et Elisabeth Lavoie, dont la complicité est évidente. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 24 janvier 2024

Le mythe d’Orphée inspire deux créatrices de Québec — Une entrevue de Valérie Marcoux avec Elizabeth Lavoie, autrice de Pamplemousse (et Isabelle Hubert, autrice de Le Mythe d’Orphée) abordant principalement le mythe d’Orphée dont s’inspire les deux pièces — Valérie Marcoux, Le Soleil, 24 janvier 2024

Les arts avec Gabrielle Morissette — Gabrielle Morissette discute avec Elisabeth Lavoie de la création de PamplemousseGabrielle Morissette, C’est encore mieux l’après-midi, Ici Première – Radio-Canada, 23 janvier 2024

Les arts avec Patricia – Pamplemousse à Premier Acte — Patricia Tadros discute de la création de Pamplemousse avec Elisabeth Lavoie Patricia Tadros, Premiere heure, Ici Première – Radio-Canada, 23 janvier 2024 

L’amour lesbien dans la pièce Pamplemousse Une entrevue de Valérie Cloutier avec Elisabeth Lavoie et Joanie Lehoux sur la pièce Pamplemousse. L’article comprend un extrait du Téléjournal Québec. Valérie Cloutier, Ici Québec, Radio-Canada, 23 janvier 2024

 

Les Contes à passer le temps

«Contes à passer le temps»: six histoires à savourer longuement, — « Les six auteurs et autrices ont su doser avec justesse la démesure et l’intimité, l’excès et la retenue, pour livrer une soirée délicieusement drôle et agréablement touchante, le tout dans une ambiance de bord du feu. Qui dit mieux ? » — Sébastien Tanguay, Le Devoir, 20 décembre 2023

Les Contes à passer le temps : une treizième édition sur le thème de la chance — « Cadre splendide, concept gourmand : dans ce lieu historique se consomment vin chaud, chocolat chaud et gâteau, mais surtout de grosses croquées de notre vie québécoise actuelle – que ces bouchées soient duveteuses ou amères. » — Florence Bordeleau, Impact Campus, 20 décembre 2023

Les Contes à passer le temps embrassent l’ambivalence de Noël, — « le charismatique Maxime Robin a défendu l’ambivalence inhérente à cette fête qui serait un mélange de deux fêtes païennes, de Saturnales et de Calendes, de tendresse et de festivités, de recueillement et de célébrations. » —  Valérie Marcoux, Le Soleil, 19 décembre 2023

Les Arts avec Patricia: Les Contes à passer le temps, — Patricia Tadros, qui a assisté aux Contes à passer le temps ce mardi, vous raconte son expérience et s’entretient avec Maxime Robin, qu’elle a attrapé juste après la représentation – Attention, les contes sont bien associés avec Premier Acte et non pas le Périscope tel que mentionné dans l’extrait. Patricia Tadros, Première heure, Radio-Canada, 20 décembre 2023

Le TVA Nouvelles 17h30 de Québec du 18 décembre 2023 Pascale Robitaille s’entretient avec Maxime Robin au sujet des Contes à passer le temps et dévoile quelques extraits de la générale. Pascale Robitaille, TVA nouvelles, 18 décembre 2023 – débute à 13:35 minutes.

Le Téléjournal Québec, Épisode du lundi 18 décembre 2023 Valérie Cloutier s’entretient en direct avec Maxime Robin juste avant la première des Contes à passer le temps. Valérie Cloutier, Le Téléjournal Québec, 18 décembre 2023 – débute à 35:25 minutes.

 

La Délivrance

La Délivrance à Premier Acte : apprendre à donner — « Personnages attachants et crédibles, dialogues serrés, jeu de comédien.nes absolument réussi, thème de la filiation et de la maternité : je n’ai pas vu le temps passer. » — Florence Bordeleau-Gagné, Impact Campus, 3 décembre 2023

La Délivrance : Naître dans les turbulences — « Cournoyer a relevé le défi de la mise en scène marquée par une direction des comédiens et comédiennes travaillée au scalpel. Gabrielle Ferron, magistrale dans le rôle de Jeanne, nous offre un moment d’anthologie. » — Alain-Martin Richard, Jeu, Revue de théâtre, 2 décembre 2023

La pièce La Délivrance questionne le « rapport trouble » à la maternité — « Les tabous de la maternité, le choix d’être parents et les défis de la vie de famille sont abordés avec maturité et nuances. Un hommage est destiné aux femmes fortes, éducatrices, qui tissent des liens entre les membres d’une même famille. » — Marie-Ève Groleau, Le Carrefour, 30 novembre 2023

La délivrance : la tempête du siècle — « Fidèle à son habitude, Cournoyer nous offre un texte fin, réaliste et touchant. » — Arianne Tapp, Monmontcalm, 1er décembre 2023

La Délivrance ou la difficulté du legs intergénérationnel — « On est littéralement absorbé par ce huis clos familial, où le talent de narration de Rosalie Cournoyer prend le temps de se diffuser dans des dialogues ciselés et une langue populaire (au sens le plus noble et poétique du terme), au service de personnages attachants et plein de failles. » — Pascaline Lamare, Le Bourdon du Faubourg, 30 novembre 2023

La famille et la filiation dans la pièce « La Délivrance » à Premier Acte — « Les réparties entre les personnages de différentes générations sont savoureuses. C’est l’occasion de voir plusieurs brillants acteurs!» — Valérie Cloutier, Le Téléjournal Québec, 29 novembre 2023

Les arts avec Patricia, La Délivrance à Premier Acte — « Quelle bonne pièce, extrêmement bien écrite, autant dans les dialogues que dans la structure! Tous les personnages sont très, très bien dépeints et superbement interprétés! […] Une autrice à surveiller! » — Critique de Patricia Tadros, Première heure, Ici Première, 29 novembre 2023

Un théâtre de son époque — Dans cette entrevue accordée à Simon Lambert du Journal Le Devoir, Rosalie Cournoyer se raconte à propos de la création et des enjeux autour de la pièce La Délivrance ainsi que de sa pratique en tant qu’autrice.  Simon Lambert, Le Devoir, 25 novembre 2023

Rentrée théâtrale à Québec: théâtres sous influence — « La pièce de Rosalie Cournoyer met en scène la crise du verglas et une famille dans le triangle noir de la catastrophe, au moment d’une naissance à venir. La dramaturge, qui a signé en peu de temps deux textes d’une grande sensibilité — Fièvre (meilleur texte aux Prix de la critique) et L’oeil (lequel sera justement repris pendant la création de La délivrance, de l’autre côté de l’avenue De Salaberry cependant, au Périscope) —, tirera prétexte de la tempête pour forcer le contact, puis les frictions au sein de ce noyau familial traversé de femmes fortes. » — Mention de Simon Lambert dans Le Devoir, 9 septembre 2023

J’te pète en mixte

J’te pète en mixte : Il y a quelque chose de pourri au royaume de l’impro — « Le récit efficace des parties d’improvisation et des partys donne l’impression d’y être. Avec un accessoire, un changement de ton, une blague, la jeune femme nous tient dans sa main. La comédienne et improvisatrice aguerrie [Clémence Lavallée] a tout ce qu’il faut pour porter le rôle. — Critique de Josiane Desloges, Jeu, revue de théâtre, 7 novembre 2023

J’te pète en mixte : le souci de la performance — « La production décortique avec une lame acérée les rêves, les espoirs et les embûches de Cath qui se présente au public, parée de toute sa fragilité et dotée d’une volonté de fer. » — Critique de Hélène Laliberté, Monmontcalm.com, 1er novembre 2023

J’te pète en mixte — « Le texte de Gabrielle Ferron est remarquablement bien écrit. Tout en nuance, abordant de biais les enjeux, le monologue de Cath’ est subtil, intelligent, hyper réaliste et accessible. On en oublierait presque que l’on est dans un théâtre, tant les distances sont abolies, et pas seulement au sens propre du terme. » — Critique de Pascaline Lamare, Le Bourdon du faubourg, 1er novembre 2023

J’te pète en mixte : une pièce dont « tu » es la victime — « Lors de la première mardi soir à Premier Acte, la comédienne Clémence Lavallée a réussi à rendre l’humour et le drame de ce solo signé Gabrielle Ferron. » Critique de Valérie Marcoux, Le Soleil, 1er novembre 2023

Incursion dans l’univers de l’impro au collégial dans J’te pète en mixte, à Premier Acte, Dans cette entrevue sur Ici Québec, Gabrielle Morissette s’est entretenue avec Gabrielle Ferron et Clémence Lavallée sur la création et les enjeux de la pièce J’te pète en mixte   Gabrielle Morissette, Radio-Canada, 2 novembre 2023

 

La République hip-hop du Bas-Canada

La République hip-hop du Bas-Canada : Une vertigineuse ratatouille postrigodon — « Cette épopée hip-hop de la création du pays, en forme de comédie musicale, emporte l’adhésion complice de la foule. Le spectacle est rythmé autant par le flot verbal que par l’humour et quelques phrases assassines qui viennent ponctuer ce plaidoyer pour un regain d’harmonie. » Critique d’Alain-Martin Richard, Jeu, revue de théâtre, 10 octobre octobre 2023

«La république hip-hop du Bas-Canada» de Dominique Sacy à Premier Acte — « Il va s’en dire: l’histoire est complètement éclatée! Et je dois admettre que cette œuvre lance la saison de Premier Acte en force. » Critique de Guy-Philippe Côté, Bible urbaine, 10 octobre 2023

La République hip-hop du Bas-Canada ou comment chanter la révolution — « La comédie musicale rap, La République hip-hop du Bas-Canada, qui ouvre l’automne chez Premier Acte, nous propose un surprenant voyage dans un Québec parallèle. De quoi charmer ceux qui ont des envies de révolution ou même un simple fantasme latent de changement. Avec un brin d’excentricité et beaucoup d’intelligence ». Critique de Léa Harvey, Le Soleil, 4 octobre 2023

La République hip-hop du Bas-Canada : rythme et poésie — « C’est la passion des mots qui anime ce texte, courtepointe culturelle, comme c’est la poésie qui attise la flamme révolutionnaire des personnages d’Annabelle (Myriam Lenfesty) et de Zack (Samuel Bouchard), jeunes artistes mus par un idéal d’authenticité. » Critique de Marrie E. Bathory, Monmontcalm.com, 4 octobre 2023

Les Arts avec Patricia — Dans cette entrevue accordée à Première Heure sur Ici Première, Patricia Tadros discute avec Dominique Sacy et Emile Beauchemin de ce qui a inspiré la création de La République hip-hop du Bas-Canada.  Patricia Tadros, Radio-Canada, 3 octobre 2023

Dans la république hip-hop, la révolution swag la bacaisse dans le fond de la boîte à bois — Ici, Sébastien Tanguay s’entretient avec Emile Beauchemin (MES) et Dominqiue Sacy (auteur), à propos leur création La République hip-hop du Bas-Canada. Un pas dans l’univers de cet ovni théâtral qui se veut une ode à la culture rap, un appel à la révolution et à la fête.  Sébastien Tanguay, Le Devoir, 2 octobre 2023

Premier Acte annonce une comédie musicale inspirée d’Alaclair Ensemble — Dans ce papier, Valérie Marcoux s’entretient avec Dominique Sacy, auteur de La République hip-hop du Bas-Canada, pour discuter de cette comédie musicale rap présentée du 3 au 21 octobre prochain.  Valérie Marcoux, Le Soleil, 9 mai 2023