Baby shower
2 avril 2024 au 20 avril 2024
- Production
MON PÈRE EST MORT
- Texte et mise en scène
- Assistance à la mise en scène
- Conception
Philippe Grant, Jeanne Huguenin, Alice Poirier, Thomas Royer
- Direction de production
- Conseil dramaturgique
- Œil extérieur
- Interprétation
Gabrielle Ferron, Myriam Lenfesty, Odile Gagné-Roy, Lucie M. Constantineau, Noémie F. Savoie
- Durée
1 h 40
Synopsis
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Anne-Marie a réussi tout ce qu’elle a entrepris. Une seule chose manque à son bonheur : un enfant. Ses fausses couches l’ont atterrée et elle s’est isolée, ne pouvant supporter la maternité de ses amies. Quand sa soeur Jade tombe enceinte par accident, Anne-Marie n’a d’autre choix que de la soutenir et lui organise un baby shower surprise. Mais la fête tourne vite au vinaigre : personne n’a envie d’être là, pas même la principale intéressée…
Entre cocktails sans alcool pétillants et petits gâteaux pailletés, leur amitié est ébranlée. Jalousie, opinions tranchées et secrets dévoilés attisent la colère en provoquant des discussions houleuses, des jeux embarrassant et… la destruction du gâteau de couches !
En exposant le côté pernicieux du baby shower, cette comédie dramatique décortique la rivalité entre femmes tout en célébrant leur puissance.
S’il faut un village pour élever un enfant, peut-être alors faut-il aussi plusieurs femmes pour élever une mère ?
Vendredi-causerie
Le vendredi 5 avril nous vous invitons à rester après la représentation pour une discussion avec les artistes. Pour l'occasion, Anne-Marie Blouin et Florence Tilch, intervenantes auprès de l'organisme Les Perséides, se joindront à la discussion pour approfondir la réflexion sur le deuil périnatal.
L'organisme Les Perséides soutient et accompagne les personnes touchées par le deuil périnatal dans la région de la Capitale-Nationale et sensibilise la communauté à cette réalité.
Non seulement l’écriture très fine de Catherine Côté recèle de légèretés et de clins d’oeil bourrés d’humour qui font rire aux éclats, mais les moments de tragédie intime, qui inévitablement brouillent la vue de quelques larmes, sont amenés en douceur, délicatement et sans faux-semblants.
– Pascaline Lamare, Bourdon du faubourg